1️⃣ La ligne éditoriale et le Tone of Voice sont des outils très spécifiques, mais qu’on a malheureusement tendance à utiliser à toutes les sauces.
Et notamment pour les mauvaises raisons :
- “Parce qu’on fait du content marketing”
- “Parce qu’on a une app / un SaaS et qu’on veut que la copy reflète notre personnalité”
- “Parce qu’aujourd’hui notre contenu n’est pas écrit de la même manière sur tous nos supports”
- “Parce qu’on va faire écrire des gens dont ce n’est pas le métier et qu’il faut bien leur donner un support”
- Etc.
2️⃣ Il n’y a qu’une seule raison d’avoir une ligne éditoriale : quand l’organisation décide de se lancer dans la presse. Et de lancer un vrai magazine, périodique, etc. (Pas “on a un blog” : je parle d’un vrai magazine, avec de vraies ressources derrière).
3️⃣ Il n’y a qu’une seule raison d’avoir un Tone of Voice : quand une organisation doit coordonner des professionnels du mot / du contenu / des médias (blog, social media, email, packaging, pub, copywriting, micro copy, etc.) qui sont dans des équipes différentes.
4️⃣ Dans tous les autres cas, le Tone of Voice et la Ligne éditoriale sont, au mieux, une perte de temps. Et il vaut mieux partir sur des solutions beaucoup plus pragmatiques.
5️⃣ Ceci dit, si vous avez réellement besoin d’un Tone of Voice, je vous propose dans cet article une méthode pour concevoir le vôtre.
6️⃣ Pour tous les autres cas, je vous propose une alternative beaucoup plus simple et pratique.